JOURNAL DES PREMIERES L - EDITION INITIALE (dimanche, 23 janvier 2011)

Quelques souvenirs de séjours [article de Gwénaëlle]

            Partir de chez soi est toujours difficile. Sans avoir 20 ans, j’ai déjà vécu dans trois pays différents. Brève présentation : tout d’abord le Canada, en Amérique du Nord, mais vraiment au nord (non, ce n’est pas les Ch’tis !). Puis l’Allemagne, notre voisin, dont la langue paraît si laide pour beaucoup (also). Et bien sûr, le point de départ, la France, mon pays natal, et mon lieu d’ancrage.

Deux continents différents. Trois pays différents. Le Canada en Amérique. En Europe l’Allemagne. La France aussi. Vous connaissez déjà le climat d’ici (français). La Saxe, là où j’étais en Allemagne, est juste au-dessus de la République Tchèque, donc à l’est ; le temps y est très humide, et par conséquent souvent plus froid. C’est le climat continental, le pays étant bien dans les terres. Il peut donc y avoir de la neige dès novembre. Mais cela étant, l’été est quand même assez chaud !

            En Ontario, au Canada anglophone, on a l’été indien. C’est donc plus tard qu’en Europe et il dure plus longtemps, jusqu’à une période bien avancée en septembre. Cela est donc surprenant de passer en une semaine environ de la fin de l’été à 0° quelques kilomètres plus au nord, dans le Muskoka, le « vrai Canada », comme on se l’imagine (eh oui, 400 bornes, ce n’est rien !), sans monter en altitude ! Mais dès octobre, c’est parti pour l’hiver ! J’ai loupé la neige à une semaine près ! Il en tombe facilement une bonne couche, ce qui ne les gêne sûrement pas ! Ils restent chez eux  dès qu’ils sont rentrés du travail ou de l’école, qu’ils ne manqueraient jamais. Pour se rendre à l'école, ils utilisent de vieux schoolbus bringuebalant pour lesquels on ne croirait jamais qu’ils puissent faire un trajet tous les jours ! Car en effet, d’extérieurs, ils sont beaux avec leur peinture jaune ! Mais en vous asseyant dedans, particulièrement dans les places du fond, vous remarquerez que c’est les  montagnes russes ! (Il est à noter malheureusement que les autorités s’en sont aperçu et ont décidé de les changer…)

            Il fait donc plus froid que chez nous. Mais le Canada est si vaste que d’un rivage à l’autre, le climat est très varié. Il est d’ailleurs si vaste que le nombre d’heures de décalage d’un côté à l’autre est le même que celui de Toronto (capitale économique, et sûrement la ville la plus connue de ce pays) à la France, c’est-à-dire 8 heures ! En revanche, il n’y a pas de décalage horaire avec l’Allemagne !

            En Allemagne, j’étais dans la famille d’Elisabeth - ma correspondante via l'échange scolaire-, qui m’a très bien accueillie, et ça n’a pas été trop dur de trouver mes marques. Au contraire, au Canada, où j’étais dans la famille d’Esprit, j’ai eu pas mal de surprises. Déjà, pour partir, il avait fallu que je présente un dossier ; celui de ma correspondante correspondait au mien. Arrivée là-bas, j’ai découvert que nous n’avions absolument pas la même mentalité, nous Français, que les Canadiens ; ainsi, alors que nous avions utilisé les mêmes mots pour nous décrire, ma correspondante et moi, nous étions très différentes ! J’en ai parlé avec d’autres Français partis avec le même organisme et qui avaient eu la même expérience que moi. Néanmoins, le « matchage », ainsi que mon organisme l’appelait, des familles, était assez bien réussi, si l'on exceptait ma correspondante. Dans mon cas, tout s’est pourtant très bien passé ; ce fut d'ailleurs le cas pour la plupart, mais certaines personnes parties avec moi ont eu quelques problèmes avec leur correspondant.

En Allemagne, les gens sont comme nous (quoique moins râleurs, non ?). Mêmes origines donc (en gros).  Mais les vrais Canadiens étaient autrefois amérindiens (d’où le nom du pays qui est un mot de ce peuple : village qui se disait « kanata » selon les Iroquois ou Inuits. Ceux-ci ont été colonisés, notamment par des Allemands (et on peut voir ces populations allemandes qui ont décidé de garder leurs racines, donc leur langue, et les coutumes qui étaient les leurs lorsqu'ils débarquèrent, refusant toujours l’électricité, tout comme les Amish ; mais au Canada on les appelle les Mennonites !), et bien sûr les Français et les Anglais. Aujourd’hui, le Canada est un pays où l’immigration bat son plein, et la population est variée. Ainsi, dans la classe où j’étais quand je suis allée à l’école, les gens venaient de partout dans le monde, et certains avaient encore de forts accents, comme Georgia, arrivée l’année précédente d’Angleterre, ou Julian, qui venait d’Amérique du Sud. Ma famille canadienne, elle, était moitié française, moitié irlandaise.

Ainsi, vous avez une première impression de ces pays. Maintenant, dans la vie quotidienne, c’est autre chose ! Pour ce qui est de la langue, commençons par l’Allemand, pas très beau mais pas si terrible que ça finalement, bien prononcé par une personne du cru. Le Canada, donc l’Anglais, en permanence, ça donne une bonne réserve de pastilles pour la gorge à prendre tous les jours pour ma part ! La prononciation est tellement différente…

            J’ai eu un peu de mal avec l’Anglais au départ, à cause de deux choses : on nous apprend en France « la langue de Shakespeare », donc l’Anglais d’Angleterre. Or l’Anglais américain est très différent, beaucoup plus cool. Ensuite, j’ai découvert que même le meilleur professeur d’Anglais ne pourrait nous faire prendre un accent à peu près compréhensible pour des gens d’Amérique du Nord. Ainsi, j’ai eu du mal à m’intégrer avec certains élèves de l’école, qui ne voulaient pas faire l’effort d’essayer de me comprendre et, du coup, m’ignoraient. Heureusement, j’ai vite pris l’accent, et ai été très bien accueillie par la suite !

            Pour l’Allemand, la langue a une prononciation beaucoup plus facile pour un Français, ce qui fait que je n’ai pas rencontré de problème ; en revanche, j’ai beaucoup moins pris l’accent.

J’ai pu remarquer qu’on a tous des tics de langage : si nous aimons bien les hee en France, pour les Allemands, c’est l’équivalent de leur ALSO. Mais les Canadiens ne sont pas en reste, plaçant des mots comme never mind à toutes les sauces (pourtant on pourrait croire que ce n’est pas facile de placer partout : «  non, ce n’est rien, ne t’en fais pas ») !

Pour ce qui est des repas, ce sont des pique-niques tous les midis (lunch en Anglais, Frühstuck en Allemand). Les Allemands ne prennent pas de petit-déjeuner - d’où le nom de leur pique-nique-, un gros repas en rentrant de l’école, et seulement du pain le soir (repas qui s’appelle « Abendbrot » : pain du soir selon la traduction littérale) traditionnellement, mais cela commence à s’oublier, et reste seulement un peu à l’est. Voici la recette pour ne pas grossir selon eux.

            Les Canadiens ont des repas qui se rapprochent davantage des nôtres, mis à part que ça ne les dérange absolument pas de manger le repas à 5h du soir.

Chaque pays a des spécialités culinaires, eux sont fous de SIROP D’ERABLE, en particulier sur de bonnes pancakes faites maison ! Ils changent de temps en temps pour des bagels, pain brioché très consistant en forme de cercle, souvent parfumés ! Ou pour les milk-shakes, plus américain, comme le reste de leur alimentation ! Ils apprécient d’ailleurs particulièrement d’aller se servir au drive-in des fast-foods, comme Tim Hortons, leur fast-food national.

            Les Allemands, quant à eux, ne font pas un repas sans PATATES. A toutes les sauces, de toutes les manières possibles ! Ils vont même jusqu’à les recomposer en quelque sorte, créant la fameuse Klöβe. Ils aiment aussi beaucoup les viandes en sauce, comme la Gulasch (qui est originaire de Thüringen, en Allemagne donc, contrairement aux idées reçues).

            Il n’y a donc qu’en France qu’on a des traditions culinaires aussi importantes et aussi variées. (Ne m’accusez pas de chauvinisme).

            Puis il y a les fêtes, car cela, c’est universel ! Ainsi, j’ai pu remarquer que les bals tels que nous les connaissons ici n’ont pas d’équivalents, car en Allemagne comme au Canada, un bal signifie tenue de soirée exigée et c’est en général pour fêter un diplôme, comme les fameux bals de promotion - donc très rares -, que toute école qui se respecte organise. Pour les boîtes, c’est partout pareil (il suffit de parler de discothèque, tout le monde comprend).

            Enfin, il y a les fêtes traditionnelles, comme la fameuse Oktoberfest en Allemagne (c'est-à-dire la fête de la bière à Munich), car la réputation n’est pas usurpée, l’Allemagne est bien le pays de la bière. Avec des mélanges parfois incongrus, comme de la bière au Coca-Cola. Au Canada, de telles traditions ne m’ont pas marquée.

            Cependant j’ai pu remarquer que partout, le sport était un événement comme chez nous. Ainsi, j’étais au Canada pendant les JO de 2008, et je peux vous assurer que cela primait sur toutes les autres informations, de même que la coupe du monde de foot de cette année en Allemagne, la fameuse WM (pour « Weltmeisterschaft »), dont beaucoup d’Allemands ne manqueraient un match pour rien au monde, allant même pour certains jusqu’à voir tous les matchs sur écran géant avec toutes les villes aux alentours.

 

            Finalement, tant de particularités ne m’ont pas déçue, et après être partie au Canada avec l’organisme l’OSEF, et en Allemagne avec le programme Brigitte Sauzay, j’ai ressenti une seule déception, ne pas pouvoir y rester un peu plus, car il me reste encore tant de choses à voir, et maintenant tant d’amis à retrouver.

 

Différents types d’école

            En ce qui concerne les écoles, j’ai pu tester trois systèmes scolaires très différents.

Je vous présente mes premières impressions : je suis au Canada, nous sommes le 2 septembre 2008, et je vois mon école pour la première fois, il est 9h du matin, heure de début des cours. Les préfabriqués me sautent aux yeux. L’école a pris tellement d’importance, bien qu’ayant été construite il y a deux ans seulement, qu’il n’y a déjà plus de place et il manque actuellement 11 classes : d’où ces cabanes qui contiennent chacune une salle. Cette école est une école bilingue Français-Anglais, ce qui est courant ici. On a trois types d'écoles : soit françaises,  soit anglaises, soit comme celle-ci (en revanche, les programmes sont identiques dans toutes).

            On me place dans la 8ème classe (après quelques péripéties). C’est l’équivalent de la 4ème car, après cette classe, on change d’école et on passe en Highschool (or ma correspondante a un an de moins que moi). Là, je découvre un professeur principal très gentil, toujours à l’écoute des élèves, avec pour maître-mot de faire réagir ceux-ci, grâce à de nombreux débats notamment, comme tous les autres professeurs. Ils utilisent pour cela tous les moyens technologiques en leur possession, dont des tableaux interactifs (il y en a dans toutes les classes), un ordinateur portable par élève (30 sont affectés à un niveau et ils tournent entre les deux classes), la télévision dans chaque classe. J’ai des matières variées car ici, le but est de faire découvrir le plus de matières possibles aux élèves ! Ainsi, chaque élève apprend un instrument de musique. Tout est très ludique. Chaque élève a son casier. L’école place très haut le respect et, dans ce cadre-là, on parle beaucoup de l’intimidation, de la discrimination.

            J’ai deux pauses (l'une à 10h30 de 15 min pour manger la moitié de mon sandwich et l’autre à 12h40 de même). Puis l'après-midi, à 14h, tous les élèves rentrent chez eux, à part ceux qui prennent des cours de sport en plus de ceux organisés dans l’emploi du temps, ce pour faire de la compétition. Souvent, les élèves ont de longs trajets de buss; j’ai 1h de trajet chaque matin et de même le soir.

En Allemagne, les cours commencent à 7h30 en Saxe (ce qui me fait me lever très tôt le matin, pour aller en voiture à l’arrêt de bus) ; chaque cours dure 45 min, et ils finissent à toute heure, au plus tard à 15h, heure de fermeture de l’école (très peu d’élèves sont encore là, la plupart finissent 2h plus tôt). Il y a relativement peu de pauses, avec 5 min d’intercours et une pause de 15 min à 9h05 puis une autre de 30 min à 11h45. Durant ces pauses, on peut manger (certains vont à la cantine, mais c’est assez rare, la plupart préfère la petite boutique de  l’école  pour s’acheter des beignets, pizzas, gâteaux,…).

            Ici, en cours, je peux boire, et même manger, sans me faire réprimander. De même, l’ambiance est beaucoup plus amicale qu’en France avec le professeur. Ainsi, échanger avec lui est fréquent, et si je parle discrètement pendant son cours, je ne me ferais que rarement reprendre (cela dépend bien sûr du professeur). Néanmoins, ce n’est pas trop gênant, car les élèves ont très peur d'obtenir de mauvais résultats à leurs interrogations et à leur Abitur plus tard (l’équivalent du Baccalauréat). En effet, les élèves qui sont dans cette école, un Gymnasium, ont déjà été triés, et les moins bons d’entre eux sont depuis longtemps dans une école à voie plus professionnelle (tout cela se fait en primaire).

 

            Après ces deux présentations, vous remarquerez sans doute que les deux voyages ont pour moi été des expériences intéressantes. Vous pouvez pourtant le constater, le Canada  m’a beaucoup plus marquée que l’Allemagne qui est semblable à la France.

 

Percy Jackson ou le Voleur de Foudre [article de Mylène]

Un jeune homme découvre qu’il est le descendant d’un dieu grec et s’embarque, avec l’aide d’un satyre et de la fille d’Athéna, dans une dangereuse aventure pour résoudre une guerre entre dieux dont il est accusé d’être à l’origine. Sur sa route, il devra affronter une horde d’ennemis mythologiques bien décidés à l’arrêter.

La mythologie respectée.

            Le film commence sur une sortie spectaculaire des eaux effectuée par Poséidon ; on le voit se transformer en citadin banal, ni vu ni connu. Il rejoint son frère Zeus tout en haut d’un gratte-ciel ; ainsi,  l'on découvre l’entrée de l’Olympe sur la Terre.

            Sur l’Olympe vivent en permanence douze dieux. Parmi les plus connus et ceux qui ont le plus de pouvoir, on compte : Zeus (c’est le dieu des dieux, d’une part car il a vaincu son père Chronos, sauvant ses douze frères et sœurs, et parce qu’il détient l’éclair de foudre, ce qui lui confère des pouvoirs supérieurs à ceux de tous ses frères réunis. Il est officiellement l’époux d'Héra, sa sœur, mais il a de nombreuses maîtresses, tant mortelles qu'immortelles, ce qui explique qu'il y ait tant de demi-dieux issus de Zeus). Le second est Poséidon (il règne sur les mers, souvent représenté en vieillard barbu, mais vaillant, armé de son tridentL le film n’a gardé que la part vaillante des représentations de Poséidon). Le dernier est Hadès (dieu des enfers, il épousa Perséphone, qu’il déroba à sa mère Déméter l'une de ses sœurs). Les neuf autres dieux sont moins connus bien qu’ils aient chacun leur place dans la mythologie ; le film leur confère que de petits rôles.

            Parmi les nombreuses histoires qui jalonnent la mythologie, on peut citer celle des Lotophages qui nourrisent les voyageurs de fleurs de Lotus ; cela les rend heureux et leur fait tout oublier ; ainsi ils perdent la notion du temps et ne reviennent plus jamais chez eux. On connait aussi assez bien le mythe des demi-dieux, enfants ayant pour parents un ou une mortelle et une divinité, car Zeus a eu de nombreuses conquêtes et beaucoup de descendants sur terre. Persé est le plus connu car c’est le seul demi-dieu à avoir eu une fin heureuse : en effet les dieux craignaient fortement ces rejetons et préféraient éviter leur existence…

            Parmi les lieux les plus connus de la mythologie grecque, on noteUn jeune homme découvre qu’il est le descendant d’un dieu grec et s’embarque, avec l’aide d’un satyre et de la fille d’Athéna, dans une dangereuse aventure pour résoudre une guerre entre dieux dont il est accusé d’être à l’origine. Sur sa route, il devra affronter une horde d’ennemis mythologiques bien décidés à l’arrêter.

La part de fantaisie

        Le film, malgré un réel effort pour ressembler à la mythologie, garde une grande part de fantaisie, notamment pour bénéficier de la plus grande audience auprès d'un public jeune notamment.

Chez les Grecs, les demi-dieux n’ont qu’une petite place, on privilégie les dieux eux- mêmes.. Seul Percée est connu, quoique seulement pour les amateurs de mythologie. Ici le film donne à ces demi-dieux un grand rôle, puisque le personnage éponyme et héros est le fils de Poséidon. Il doit absolument retrouver l’éclair de foudre, qu'on l'accuse d'avoir volé, car sinon les dieux de l'Olympe entreront en guerre. L’éclair de foudre a été subtilisé par un demi-dieu pour prendre le pouvoir, afin que l’ancienne génération laisse place à une nouvelle.

La mythologie est entièrement revisitée pour être plus moderne et coller à notre « monde ». Ainsi, l’histoire des Lotophages se déroule dans un casino, qui garde précieusement ses clients grâce aux mêmes fleurs de Lotus. Les fameuses chaussures d’Hermès, le messager des dieux, se retrouvent être des Converses. Les furies deviennent des institutrices, le directeur d’un musée est en fait un centaure, alors que rarement les créatures mythiques ne s’aventurent si prés des Hommes.

Toujours dans un but lucratif et pour coller à notre société, le film nous rend une version très « américanisée » des aventures mythique de notre héros ; ainsi un Ipod sauve Percy du regard pétrifiant de la Méduse. Tout sombre également dans la démesure. Rien  n'imest possible dans ce film, et l'on connaît d’avance la fin, même si les aventures entre temps peuvent nous surprendre par la revisitation qui s'opère.

 

Messages subliminaux :

Ce film met le doigt sur les dysfonctionnements de notre société, qui se caractérise par  une course à la consommation ; la culture y laisse place à un désir de possession effréné. On sent apparaître un monde matérialiste comme le montre la présence de nombreux objets  aux marques connues (dont l'Ipd dont nous avons déjà parlé... Si les victimes avaient su cela plus tôt !!!...)

La discrimination a aussi une grande place dans ce tournage : en effet, les demi-dieux sont parqués dans un camp. Enfermés loin de l’humanité dans le fin fond d’une forêt, comme le furent les Juifs lors de l’Occupation. De plus dans ce camp tous les « serviteurs » sont noirs, comme les meilleurs amis qui exécutent tous les ordres de Percy Jackson. De plus Grover, le meilleur ami noir, n’a que le second rôle, celui du satyre, créature qui passait son temps à chanter et à poursuivre les nymphes de ses assiduités, et revêt donc une importance moindre dans la mythologie.

Mais malgré tout cela, ce film est fortement plébiscité par les jeunes, car il est proche d’eux et chaque fois que l’apport culturel est trop important, on ravive leur intérêt à gros coups de publicité et d’effet spéciaux.

 

Par conséquent, ce film est une œuvre facile à voir, qui ne requiert aucune connaissance préalable ; elle vous permet juste de passer un moment agréable, si vous n’êtes bien sûr pas trop exigeant sur la qualité et que vous avez 2h02 vacantes dans votre emploi du temps...

 

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