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INSTITUTION NOTRE-DAME - CHARLIEU

  • Forum des métiers au Scarabée - 13/12/18

    Jeudi 13 décembre matin, afin d'avancer sur leurs projets d'orientation futurs, les élèves de 3e ont assisté au forum des métiers qui se déroulait à Roanne au Scarabée. Visant une sélection de métiers intéressant chaque élève, les rencontres furent nombreuses et enrichissantes pour chacun.

  • Orientation des terminales S

          Le mardi 20 novembre, dans le cadre de leur préparation à l'orientation, les élèves de terminale S ont eu une présentation de la faculté de Médecine de Saint-Etienne, par une étudiante de deuxième année.

          Ils ont pu ainsi poser des questions précises sur les compétences demandées pour ce type de formation.

  • MONTAGE DE LA CRECHE DE NOEL 2018

     

           En fin de semaine, dans le hall d'entrée du bâtiment principal, M.Montérymard, un des enseignants de Notre Dame, a commencé (avec l'aide de quelques élèves) la création et le montage de la célèbre crèche de Noel...

          Après de nombreuses heures de préparation, le résultat est là ... pour le bonheur des plus grands et des plus petits!
          Nous invitions chaleureusement les parents qui le souhaiteraient, à venir la découvrir...

    Et un grand BRAVO à M.Montérymard!

  • NOUVEAU SPECTACLE DE THEATRE POUR LES ELEVES DE NOTRE-DAME

    Ce vendredi trente octobre, les élèves des classes de Première du Lycée Notre-Dame se sont rendus à la Comédie de Saint-Etienne pour le deuxième spectacle de leur abonnement. Et ils n'ont pas été déçus !

    Ils ont en effet assisté à la représentation de Peer Gynt d'Ibsen, mis en scène par David Bobée, directeur du Théâtre de Rouen, et familier des grandes pièces du répertoire classique. Et c'est une dramaturgie époustouflante qu'ils ont pu admirer dans ses moindres détails. Une vraie fidélité au texte, et pourtant des innovations remarquables ont su tenir en haleine la salle pendant trois heures et demie, sans la moindre seconde de fléchissement. L'acteur qui tenait le rôle éponyme était d'une virtuosité incroyable, tant dans la prouesse physique que dans une appropriation psychologique du rôle tout en finesse, et pourtant pleine d'exaltation et d'enthousiasme. Une prestation remarquable pour ce tout jeune comédien issu du Centre dramatique de Normandie.

    Les autres comédiens  n'étaient pas en reste, et dans un décor somptueux et symbolique à la fois, la troupe a su donner corps à la vie de ce marginal qu'est Peer Gynt, jeune homme à la recherche d'une identité qui le fuit, arpenteur d'un monde qui ne semble pas fait pour lui, révolté qui n'arrive pas à achever sa quête d'idéal. De la jeunesse désargentée à la maturité aisée, puis à la vieillesse démunie, il ne parvient pas à conserver ce qu'il a : l'argent mal acquis lui est ravi, le pouvoir illusoire lui est confisqué. Mais, au terme de la vieillesse et d'un retour au pays natal, seul l'amour de la bien-aimée qui a su l'attendre pendant tant d'années pourra peut-être le rédimer. Anti-héros menteur, hâbleur, égoïste, il n'est en fait que la victime d'un monde qu'il ne choisit pas et qui le broie, un monde où des Trolls maléfiques illustrent le repli sur soi et le refus de l'Autre.

    Chacun a pu retrouver dans cette fable à la fois onirique et terriblement réaliste, des accents contemporains : égocentrisme, insatisfaction permanente, déni du droit à la différence... Ces défauts propres à nos sociétés étaient encore accentués par une utilisation judicieuse des lumières, une intégration subtile mais prégnante de la musique. La scénographie astucieuse de Catherine Dewitt balayait toute l'histoire de l'art et des civilisations, des ombres chinoises qui faisaient penser aux silhouettes des vases de l'Antiquité grecque, jusqu'à l'évocation d'une humanité du voyage, qui n'était pas sans rappeler les films d'Emir Kusturica.

    Un spectacle d'une telle qualité ne pouvait pas laisser des adolescents indifférents. Et la plupart ont été émus par cette pièce, et étonnés également de voir que l'on pouvait se laisser ainsi emporter par la beauté et la ferveur d'un tel théâtre. Et c'est avec impatience qu'ils attendent donc leur prochain spectacle, le jeudi vingt décembre !

  • HERODIADE A L'OPERA DE SAINT-ETIENNE POUR LES ELEVES DE NOTRE-DAME

    Ce vendredi seize novembre, quarante-six d'élèves du Lycée Notre-Dame, tous volontaires, ont assisté au spectacle Hérodiade à l'Opéra de Saint-Etienne, dans le cadre d'un abonnement de trois fauteuils.
    C'était pour près de la moitié d'entre eux une première, puisqu'ils n'avaient encore jamais assisté à un opéra. Pour faciliter la compréhension de l'opus, ils ont bénéficié, avant le spectacle, des explications de Fabien Houlès, professeur agrégé de musique.

    Et cet opéra de Massenet a comblé toutes leurs attentes ! Le livret, rédigé par Paul Millet et Henri Grémont à partir du conte de Faubert Hérodias, présente la ville de Jérusalem secouée par des intrigues de palais
    et aux mains d'un Hérode-Antipas privé de pouvoir réel par les maîtres romains. Ce roi velléitaire, dépendant de drogues variées, s'est lassé de son épouse Hérodiade, et s'est entiché de la jeune Salomé, dont il ignore qu'elle
    est la fille jadis abandonnée par son épouse et recueillie par Phanuel. Salomé, engagée dans les pas de Jean qui la fascine, et à la recherche de sa mère, fera tout pour sauver celui qu'elle aime de la mort. Mais sa mère, qui ne supporte pas les accusations du Baptiste, veut à tout prix la tête de son détracteur. Au terme de manigances, elle obtiendra gain de cause de la part d'Antipas, jaloux de se voir préférer un rival, mais elle perdra du même coup sa fille à qui elle découvrira sa véritable identité. Salomé en effet, qui désirait venger la mort de Jean en tuant Hérodiade, retourne l'arme contre elle quand elle apprend sa filiation. L'héroïne éponyme, à la fin de l'oeuvre, a
    donc tout perdu : le pouvoir, sa fille retrouvée, et toute forme d'espoir...
    La mise en scène de Jean-Louis Pichon, magnifique de sobriété, la direction d'orchestre de Jean-Yves Ossonce, la chorégraphie de Laurence Fanon, l'interprétation de la soprano Elodie Hache en Salomé, d'Emanuela Pascu en Hérodiade, du ténor Florian Laconi en Jean, de Christian Helmer en Hérode, et de Nicolas Cavallier en Phanuel, tout était remarquable !
    Les lycéens ont été conquis, et attendent avec impatience leur prochain spectacle, un concert-hommage à Debussy, qui aura lieu le vendredi 11 janvier

  • Voyage en Allemagne

    Quelques nouvelles de nos grands voyageurs et de Castor (notre mascotte) : ils sont tous très sages et le trajet s'est très bien passé. Quelques photos dans le bus: certains travaillent, d’autres jouent aux cartes, écoutent de la musique, s’amusent ou ... font une petite sieste.

  • Voyage en Allemagne

    Le voyage en Allemagne pour nos élèves, approche à grands pas... Organisé dans le cadre d'un programme d'échange avec une ville allemande nommée Oelsnitz, les élèves seront accueillis par leurs correspondants et dormiront en famille d'accueil.
    Un petit avant-goût de leur futur périple:
     
    Dimanche 18/11 :
    Départ 6h (parking J. de la Rue) – arrivée à Oelsnitz vers 19h30 (répartition dans les familles)
     
    Lundi 19/11 :
    Matinée à l’école : lycée Julius Mosen à Oelsnitz (participation aux cours avec les correspondants)
    Après-midi en famille
     
    Mardi 20/11 :
    Départ pour Modlareuth (visite guidée du village et du musée)
    Arrêt au supermarché Globus
    Retour à Oelsnitz vers 14h
    Après-midi en famille
     
    Mercredi 21/11 :
    Journée en famille (jour férié en Saxe)
     
    Jeudi 22/11 :
    Journée franco-allemande : départ pour Dresde (visite de la cathédrale, temps libre et visite guidée du musée de l’hygiène)
    Retour à Oelsnitz vers 18h30
     
    Vendredi 23/11:
    Départ pour Markneukirchen (visite du musée des instruments de musique et de la manufacture)
    Retour vers 13h et après-midi en famille.
    18h/21h : soirée d’adieu à la cafétéria du lycée
     
    Samedi 24/11 :
    Départ pour la France à 7h.
    Arrivée à Charlieu (parking J.de la Rue) à 20h

  • Sensibilisation à la sécurité

    Ce mardi, la gendarmerie est venue au collège afin d'intervenir auprès des élèves de 6e. Après une partie plus théorique (vidéo, explications sur les gilets réfléchissants, la sécurité la nuit lorsqu'on est piéton/cycliste etc.), les élèves ont été invités sur le parking du LEP J.de la Rue, à un exercice plus pratique d'évacuation d'un bus. Chaque élève a reçu en cadeau un gilet jaune, afin d'appliquer, au quotidien, ces gestes salvateurs.

  • Journée d'accueil futurs 6e et 2nde

    En ce vendredi 9 novembre, l'institution Notre Dame a ouvert ses portes afin d'accueillir et de faire découvrir l'établissement aux élèves de CM2 et 3e des alentours. De nombreuses activités ont été proposées tout au long de la journée, afin de présenter les différents enseignements et découvrir les locaux. Au programme entre autres: un escape game scientifique, un rallye maths, l'atelier Yene Dame, un atelier "photos", des ateliers sciences au laboratoire, des sketchs en anglais et danses (espagnol), un trivial histoire, des ateliers sportifs, un travail sur les mots au CDI, du théâtre... La journée s'est finalement terminée convivialement par un goûter collectif devant le réfectoire. Merci à tous (personnel encadrant, professeurs, élèves...) pour votre participation et à très vite, à Notre Dame! Les photographies de l'atelier "photos" sont disponibles à l'adresse suivante http://notredamecharlieu.fr/photos/

  • MEME EN VACANCES, ON SE CULTIVE A NOTRE-DAME

    Alors que venait juste de sonner l'heure des vacances, ce vendredi dix-neuf octobre, les élèves des classes de Première du Lycée Notre-Dame ont eu la chance d'assister à la Comédie de Saint-Etienne au spectacle Thyeste, qui avait ouvert le festival d'Avignon cet été. C'est dire la qualité de la prestation !

    La pièce de Sénèque, mise en scène par Thomas Jolly dans la traduction de Florence Dupont - bien connue de tous les latinistes de France et de Navarre pour avoir renouvelé l'approche du théâtre romain en général, et de celui de Sénèque en particulier -, offre un drame familial, issu de la mythologie : Atrée fait manger à son frère Thyeste ses fils mijotés en ragoût.. Dans la pure tradition de ce que Artaud nommera plus tard le théâtre de la cruauté, s'affrontent les membres de cette famille maudite suite au geste de l'ancêtre Tantale, condamné aux tourments éternels de la soif pour avoir offert aux dieux, en un banquet sacrilège, Pélops son fils. Ce fut le début d'une série de meurtres, de luttes fratricides, d'incestes et de violences en tout genre ! Cette famille illustre à merveille le tragique tel que le concevait l'Antiquité.

    L'infanticide y est donc l'un des thèmes majeurs, qui d'ailleurs s'inscrit dans la lignée récurrente de sacrifices de la chair de sa chair propre à la sphère indo-européenne. Mais il s'agit aussi de traiter de la relation au pouvoir, à L'Autre, dans un questionnement sur l'Homme, sur ce qui fonde l'humanité et les relations inter-individuelles. La violence est omniprésente : violence des corps tout d'abord, qui se contorsionnent sous l'effet d'un douleur qu'ils ne peuvent supporter ; violence du Verbe, avec un vers latin superbement traduit par la fille de Pierre Grimal, qui sait rendre au texte toute sa force et sa liberté ; violence enfin de cette force tragique de la vengeance qui semble s'acharner sur les hommes et les pousser à commettre les pires erreurs... les pires horreurs ! Car, comme l'a fort bien fait remarquer la traductrice, le dolor laisse place au furor [la douleur le cède à la folie], dans cette espèce de danse effrénée, macabre, encore renforcée par le slam du choeur.

    Thomas Jolly, habitué à orchestrer la violence puisqu'il a adapté Shakespeare et également mis en scène des opéras, a su donner corps et voix au texte de Sénèque. En habitué des tragédies du pouvoir, de la famille, il est parvenu à insuffler à la pièce la fulgurance qu'elle requérait, puisque nous redécouvrons, depuis quelques années, le théâtre de Sénèque, en même temps que fleurissent de nouvelles thèses sur la définition du tragique, loin du Sturm und Drang [tempête et passion] de Goethe. En effet, les nouvelles théories montrent que le tragique ne va pas forcément de pair avec la notion de destin ; c'est le public qui croit voir sa griffe là où il peut n'y avoir qu'un hasard, ou une succession de causalités issues du hasard... Et Thomas Jolly est parvenu à illustrer cette vision moderne, tout en la conjuguant aux théories de Florence Dupont sur la parenté avec le théâtre Nô japonais. Il a réussi par la même occasion la prouesse d'adapter à une scène fermée ce qui avait été conçu pour la Cour d'Honneur du Palais des Papes ! Bravo à ce jeune metteur en scène plein de talent !

    Les élèves, bousculés par ce théâtre de la dévoration, pourront à loisir méditer pendant leur quinze jours de congés, avant d'analyser à la rentrée toutes les pépites que recelait ce spectacle...

     

  • Atelier BD 5e - Rencontre avec Benjamin Reiss

    Ce mercredi 17 octobre, des élèves de 5e ont rencontré M. Benjamin Reiss, scénariste et illustrateur de BD. Cette rencontre a été possible dans le cadre d’un partenariat entre un auteur et un territoire (résidence d’auteur – communauté de Charlieu/Belemont). Après s’être présenté, B.Reiss a répondu aux différentes questions des élèves. Il a ensuite proposé aux dessinateurs en herbe, de créer une page de BD, tout en les guidant dans leur démarche. Ces travaux, une fois achevés, seront exposés au CDI, ainsi que pour la soirée de clôture « résidence d’auteur » le vendredi 9 novembre (à la MJC de Charlieu).

  • Voyage en Angleterre - 3e

    Les troisièmes de Notre Dame sont bien arrivés en Angleterre! Le trajet fût long, mais les élèves et leurs accompagnants ont pu, dès lundi, découvrir l'inconnu : ferry, château de Douvres, Canterbury...

    Nous leur souhaitons un excellent voyage!