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INSTITUTION NOTRE-DAME - CHARLIEU - Page 5

  • Les primaires de l'école Sainte-Marie en visite à Notre-Dame

    presse.jpgLe Pays - 08/02/2018

     

    "Afin de se familiariser et de commencer à prendre leurs marques en prévision de leur prochain passage au collège, les élèves de CM se sont rendus, mardi 30 janvier, à l'institution Notre-Dame.

     

    Sur place, ils ont été accueillis par le directeur, Bernard Rouchon, auquel ils ont pu poser toutes leurs questions. Puis les 22 élèves de CM2 et les 30 élèves de CM1 ont été conviés à visiter le CDI (Centre de documentation et d'information), ainsi qu'une classe de 6ème."

     

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  • Deux, trois flocons et puis s'en vont : les cinquièmes aux sports d'hiver !

    En direct de la station de la Toussuire, au cœur du domaine savoyard des Sybelles, quelques images de nos classes de cinquième qui s'en donnent à cœur joie depuis lundi sur les pistes alpines enneigées !

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    Au programme, la grande poudreuse certes, mais aussi des cours théoriques dispensés chaque soir par les enseignants accompagnateurs afin de revenir sur les événements notables de la journée, faune et flore observées, petites foulées et grandes enjambées.

     

    Puis l'on rejoint les dortoirs, ses skis au pied du lit que l'on chaussera encore jusqu'à vendredi, point d'orgue d'une semaine ébouriffante, alliant aux bienfaits de la pratique sportive l'apprentissage de la vie en collectivité, repérage dans un nouvel environnement... Et crises de fou rire sur le tire-fesses, grivoiseries de circonstance !

     

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  • Remise du diplôme du bac à Notre-Dame

    presse.jpgLa Tribune - Le Progrès - 30/01/18

     

    "Samedi, Bernard Rouchon, chef d'établissement de Notre-Dame, a procédé à la remise officielle du diplôme du baccalauréat aux 31 élèves de la promotion 2017, avant un repas et un apéritif pris en présence des professeurs.

     

    L'après-midi a été consacré aux Chantiers de l'orientation, rencontre annuelle qui permet aux élèves de 3ème et lycéens de rencontrer leurs aînés désormais dans le supérieur. 50 anciens étudiants de l'établissement représentaient ainsi un large panel de licences et masters universitaires, classes préparatoires, écoles d'ingénieurs, techniciens, sans oublier l'armée et la gendarmerie.

     

    Une diversité de métiers, d'orientations et de parcours afin que chacun puisse se projeter et se faire une idée plus précise de son avenir !"

     

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    Le Pays - 01/02/18

     

    « Notre-Dame : les heureux bacheliers à l'honneur

     

    Samedi 27 janvier a pris place à Notre-Dame la remise officielle du diplôme du baccalauréat de la promotion 2017. Un moment solennel pour les anciens lycéens, heureux de se retrouver pour venir chercher leur précieux sésame qui concrètement, vient sceller avec réussite leur parcours scolaire dans l'établissement privé charliendin. Avec 100% de réussite et 58% de mentions, les résultats sont une fois encore excellents.

     

    "Ce succès est le fruit d'un accompagnement individuel que nous efforçons d'adapter du mieux possible au profit de chacun de nos élèves, a commenté Bernard Rouchon, chef d'établissement de l'institution Notre-Dame. Nous sommes tous fiers de vos résultats et vous souhaitons une excellente continuation dans vos études supérieures." 

     

    Les festivités se prolongeaient à midi avec le partage d'un apéritif et d'un repas en présence des professeurs. Puis ce sont les désormais traditionnels « Chantiers de l'orientation » qui animaient l'après-midi. Une opportunité unique pour les lycéens actuels d'aller à la rencontre d'anciens élèves.

     

    Une cinquantaine d'entre eux étaient présents, venus partager leurs vécu et expériences et présenter leur formation post-bac, depuis les universités au DUT en passant par les BTS, les classes préparatoires aux grandes écoles et formations d'ingénieurs.

     

    Enfin, les élèves pouvaient également se renseigner auprès de la quinzaine d'écoles ayant répondu favorablement à l'invitation lancée par Notre-Dame, et même s'arrêter sur le stand du centre d'information et de recrutement des forces armées.

     

    Une diversité de formations possibles appréciée qui, à n'en pas douter, aura permis aux lycéens de faire le point sur leur orientation et de réfléchir activement à leur avenir post-bac. »

     

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  • Echange linguistique - Une élève de 1ère au Canada

    presse.jpgLa Tribune - Le Progrès

     

    « Elise Clémencin, élève de 1ère au lycée Notre-Dame, est partie pour améliorer son anglais dans la ville d'Olds en Alberta, du 13 août au 2 novembre 2017. Retour sur ce séjour inoubliable.

     

    "Comment s'est passé le départ ? 

    - Nous étions 70 à partir de Paris, l'organisme nous a accompagnés lors du trajet en avion et il y avait un référent sur place que nous pouvions contacter en cas de problème. Ce séjour a débuté par deux jours à Toronto. Puis j'ai rejoint la famille de ma correspondante et je me suis tout de suite sentie bien. Quand je suis arrivée en août, c'était encore les vacances. Je suis donc partie avec eux pour une croisière en Alaska. Plus tard, nous avons fait une semaine en montagne. C'était génial !

     

    - A quoi ressemblait une journée ?

    - Réveil vers 6h30. A 7h45, départ en voiture pour le début des cours à 8h45. Pendant la journée, je n'étais jamais avec ma correspondante. C'était volontaire car l'immersion se devait d'être complète même si je ne parlais jamais en français avec elle. Je débutais la journée par du théâtre puis, après 10 minutes de pause, j'enchaînais avec de l'anglais pour une étude de livre, puis un cours de cuisine et enfin art. Les cours se terminaient à 15h15 avec 1h10 de pause pour le repas de midi. Même si j'ai bénéficié d'un statut spécial, l'organisation est vraiment différente de celle de la France. Le rapport avec les professeurs est différent aussi, il n'y a pas besoin d'autorité, les élèves les respectent davantage.

     

    - Qu'avez-vous le plus aimé ?

    - Incontestablement, ce sont les moments avec la famille et tout particulièrement avec ma correspondante Kayla. Je ne me suis jamais sentie comme une invitée durant les trois mois qu'a duré mon séjour, mais bel et bien comme faisant partie de cette famille. J'ai tellement pleuré au moment de mon départ ! Maintenant j'appelle régulièrement ma famille canadienne et j'attends avec impatience l'arrivée de ma correspondance le 9 février.

     

    - Que vous a apporté ce séjour ?

    - J'ai beaucoup progressé. Maintenant, quand je parle anglais, je ne cherche plus mes mots. Je me suis ouverte à d'autres habitudes, d'autres cultures. Je le conseille à tout le monde."

     

    Muriel JANIAUD, professeur d'anglais et d'allemand à Notre Dame, commente l'expérience d'Elise :

    "Quand Elise est venue me dire qu'elle souhaitait faire un stage pour améliorer son anglais, je l'ai tout de suite orientée vers l'Osef (Organisme de séjour éducatif français). J'ai connu cet organisme lors d'une présentation au collège avant de l'expérimenter personnellement, puisque mes deux filles sont parties au Canada par son intermédiaire. C'est un organisme très sérieux qui propose des séjours individuels d'une durée de 3 mois avec une scolarisation et s'adressent aux 13-17 ans. En contrepartie, la famille française s'engage à recevoir un jeune pour 9 à 11 semaines", explique Muriel JANIAUD, professeur d'anglais et d'allemand à Notre-Dame. "Le but est de mettre la scolarité en France entre parenthèses pour tout recentrer sur la langue et croyez-moi, c'est efficace." »

  • RECITAL DE FORTEPIANO PLEBISCITE PAR LES ELEVES DE NOTRE-DAME

    Ce mardi, un groupe de volontaires du Lycée Notre-Dame a assisté à un récital du célèbre musicien Joos van Immersel. Au programme, les Seize Danses allemandes et la Sonate pour piano n°21 de Schubert, ainsi que la Sonate n°18 de Beethoven.

     

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    De quoi réjouir les amoureux de musique romantique ! D'autant que l'artiste était venu avec un pianoforte issu de sa collection particulière. Le musicien - qui par ailleurs est à l'origine de L'Anima Eterna Brugge, orchestre qu'il dirige d'une main de maître, s'est spécialisé dans la musique jouée sur instruments d'époque, ce qui est assez rare dans le milieu musical et permet bien sûr de restituer fidèlement les sonorités imaginées par les compositeurs, renouvelant ainsi l'écoute que l'on peut avoir de ces morceaux par ailleurs fort connus du grand public.

     

    Les jeunes ont apprécié ce moment de fraîcheur et de sérénité, bref répit au coeur d'un emploi du temps chargé, puisque le lendemain ils retrouvaient cours et éventuels examens blancs... L'art et la manière d'alterner travail et loisirs culturels, botte secrète de Notre-Dame !

     

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  • Notre-Dame célèbre les 55 ans de l'unité franco-allemande

    IMG_20180122_150858_410.jpgEn novembre dernier, nos élèves germanophones volontaires partaient en échange linguistique à Oelsnitz, paisible bourgade allemande près de la frontière tchécoslovaque, avec le lycée de laquelle Notre-Dame bénéficie d'un jumelage de longue date. En l'honneur aujourd'hui du 55ème anniversaire du traité de l'Elysée, qui scella le 22 janvier 1963 l'amitié entre nos deux pays, retour en images et témoignages de 4èmes sur ce séjour d'une semaine au souvenir encore vivace !

     

    Premier constat, unanime : une semaine ? « Trop court », lâche Aurélie, sans ambages, bien que d'autres à l'image d'Elsy, plus indulgente, salue « l'équitable répartition du temps passé avec la famille d'accueil et les français ». Car nos jeunes participants ne sont évidemment pas livrés à eux-mêmes, alternant visites de groupe, journées de cours et moments privilégiés en compagnie de leurs correspondants respectifs, « à la patinoire » pour Anaïs, à « l'usine Haribo » pour Noé, pensionnaire comblé. Des initiatives indispensables à l'apprentissage de la langue et de l'amitié, pierre angulaire du dispositif d'échange !

     

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    IMG_20180122_151018_170.jpgQuant aux visites collectives, le musée - « dans un ancien gazomètre », comme le précise judicieusement Florent - dédié au mythique Titanic remporte cette année tous les suffrages. La vue sur Leipzig qu'offre le monument de la Bataille des Nations, commémorant la victoire des Prusses sur les troupes de Napoléon 1er en 1813, lui tient cependant la dragée haute, « un panorama majestueux » aux yeux d'Anaïs. Une ascension fatigante dont aura à l'évidence fait les frais le Musée de l'Industrie, prochain sur la liste, Flavien déplorant une « visite debout ».

     

    Qu'à cela ne tienne, les élèves auront pu reposer leurs jambes fourbues sur les chaises du lycée d'Oelsnitz à l'occasion d'une journée de cours qui aura satisfait la curiosité de Silvestre, avide de « découvrir un autre système », quand Elsy avoue pour sa part « qu'on ne comprenait pas grand-chose », en tout cas « au début »...

     

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    Mais à la fin ? « Une boum, j'ai adoré ! », s'enthousiasme Anaïs. Le point d'orgue d'un séjour couronné de succès, auquel « les profs pas trop stricts » ne sont d'ailleurs pas étrangers selon Aurélie, gentiment impertinente. Il n'empêche, « se lever tôt, j'ai pas aimé » conclut Juliette, un brin revêche. Une bien triste affliction dont il ne lui reste guère de temps pour se remettre, les Allemands s'apprêtant eux aussi à rejoindre d'ici quelques semaines le verdoyant pays charliendin !

     

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  • Comme des cinquièmes... en Galilée !

    Si Gaspard, Balthazar et Melchior en doutaient encore, qu'ils se rassurent : nos élèves de cinquième ont assuré avec panache la relève de leurs illustres aînés en ces temps d'Epiphanie, parés de leurs plus beaux atours en l'honneur d'un goûter organisé par leur professeure d'espagnol Karine De Abreu.

     

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    De la graine de "Reyes Magos" dans la plus pure tradition de la péninsule ibérique, où l'on célèbre leur venue lors de la fameuse Cabalgata du 5 janvier qui réunit dans les villes espagnoles, sous une pluie de friandises, cortèges et troupes de danseurs, marionnettes et artistes de rue auxquels les enfants remettent, fébriles, la liste de cadeaux qu'ils espéreront retrouver au pied de leur lit le lendemain matin. Un exploit de patience et d'abnégation alors que leurs petits voisins européens, pour les plus nantis, profitent déjà depuis le 25 décembre d'un coffre à jouets bien garni !

     

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  • Sortie pédagogique pour les 4èmes de Notre-Dame en pays stéphanois

    25531932_1390530174383996_1509438822993213027_o.jpgVendredi 22 décembre, 8h, Charlieu : impatientes, les classes de 4ème piétinent au pied des bus affrétés tout spécialement pour leur voyage pédagogique en région stéphanoise, à la découverte des Musées de la Mine et d'Art Moderne et Contemporain de Saint-Etienne, sous bonne garde de leurs accompagnateurs Mme Berrodier et Mme Souchon, professeures d'histoire-géographie, M. Lamoussière, professeur d'arts plastiques, M. Janiaud, professeur d'EPS et M. Duperret, professeur documentaliste. Les conversations, animées, peinent à couvrir les rires retentissants des plus euphoriques... L'agitation, palpable, laisserait-elle présager de la proximité des fêtes de fin d'année ?

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    Ou peut-être, tout bonnement, d'une insatiable soif de culture, tant les élèves, une fois répartis en groupe sur place, offrent à leurs guides respectifs une oreille attentive, casque de sécurité vissé sur le crâne, petites silhouettes besogneuses à l'ombre des monstres de fer et de charbon de la cité minière. Une première visite matinale au Musée de la Mine placée sous le signe d'une relecture sociale, à rebours de la mythologie morbide que charrie dans l'imaginaire collectif ce dédale de galeries souterraines dont l'exploitation tournera à plein régime dans la seconde moitié du XXème siècle, au chevet d'un pays en ruine au sortir de la guerre, brassant une forte immigration méditerranéenne afin de pourvoir ces postes ingrats dont les Français ne veulent plus.

     

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    Point de coup de grisou donc, mais un éclairage instructif sur le rôle méconnu des mineurs dans l'évolution du droit des salariés, qui obtiendront dès 1907 que leur journée de travail n'excède pas huit heures, pénibilité de la tâche oblige, ainsi qu'un système de ponction solidaire sur la paie mensuelle de chacun, afin d'alimenter un fonds d'indemnisation collectif à l'intention des collègues blessés pioche en main - une petite révolution ouvrière préfigurant l'instauration nationale de la Sécurité sociale en 1945.

     

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    Coup d'éclat toutefois l'après-midi au Musée de l'Art Moderne et Contemporain, dont l'une des œuvres préliminaires, un savant assemblage de tubes de métal enchevêtrés, soigneusement lustrés, qui n'aurait pas dépareillé le matin même dans les entrailles de la ville, parvient à interpeller nos élèves dès leur arrivée. Quel intérêt que de les exposer là, ces morceaux « même pas beaux » comme le souligneront certains ? C'est justement tout le propos du grand chamboule-tout artistique du XXème siècle : bousculer des décennies ininterrompues d'esthétisme conformiste, réhabiliter la technique, indissociable de l'art, à l'image du peintre et son fidèle pinceau. L'intention préliminaire de l'auteur suffit-elle à fonder et justifier l'oeuvre, ou cette dernière relève-t-elle du seul critère de beauté – tous les sujets sont-ils dignes d'être représentés, outils compris ?

     

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    Aucune réponse, évidemment, à mesure que la visite suit son cours, réservant son lot d'incongruitésIMG_20180109_105343_388.jpg auprès d'élèves toujours plus interloqués : abstractions sur toiles, néons aveuglants, vidéos grésillantes sur tubes cathodiques, jusqu'à l'apothéose finale, cet amas de matière informe aux reflets bruns rougeâtres, grand œuvre de l'artiste britannique Anish Kapoor, vision paroxystique d'un art contemporain réduit à sa plus pure quintessence. De sujet identifiable il n'est définitivement plus question ; subsiste alors cette matière de nature difficilement identifiable, peut-être authentique, vierge de toute technique, jetée en pâture au public définitivement médusé.

     

    De quoi alimenter, en tout cas, quelques joutes verbales de haut vol sur le trajet du retour entre tenants d'un classicisme assumé et contestataires entêtés de l'ordre établi, rejouant à leur insu l'éternelle querelle des Anciens et des Modernes, tous cependant bientôt réconciliés sous les lumières scintillantes de Noël qui s'annonce, désormais, à foulées enneigées en cette veille de vacances hivernales. Les garnements filent, un car à prendre, des parents qui attendent : la journée se termine, 8 heures tout pile... Comme les mineurs.

     

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  • Plus de 100 kg de dons collectés à Notre-Dame pour les victimes de l'ouragan Maria !

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    A l'initiative de Mme Solitude - parente d'élèves originaire de la région, l'association humanitaire de l'établissement Yene Dame a collecté du 7 au 21 décembre inclus plus de 100 kilos de pantalons, tee-shirts, papier, crayons et produits d'hygiène féminine en faveur des habitants de Tarreau, petite bourgade victime de l'ouragan Maria sur l'île Dominique.

     

    Yene Dame a de plus tenu à participer aux frais d'acheminement de la compagnie Air Caraïbes, qui assurera le transport des dons sur l'archipel. Merci à tous, familles et bénévoles étudiants, pour votre générosité !

     

     

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  • DERNIER SPECTACLE DE LEUR ABONNEMENT A LA COMEDIE DE SAINT-ETIENNE POUR LES LYCEENS DE NOTRE-DAME

    Ce vendredi, les élèves de première prenaient le chemin de Saint-Etienne pour la troisième et dernière représentation de leur abonnement à la Comédie. Suite à la "petite forme" vue dans les locaux de l'école il y a dix jours, ils ont pu assister à la pièce maîtresse de ce duo : Andromaque, un Amour fou. Ce spectacle est l'occasion, pour le metteur en scène, de renouveler la lecture de la célèbre pièce de Racine, et de s'interroger également sur tout ce qui gravite autour de la représentation théâtrale en général.

     

    A partir du célèbre film de Jacques Rivette, L'Amour fou, qui filmait une troupe en train elle aussi de préparer une représentation de la pièce Andromaque, Mathieu Cruciani - qu'il n'est plus besoin de présenter tant ses précédentes mises en scène parlent pour lui -, a imaginé un dispositif complexe, qui projette des extraits vidéo, tandis qu'un cinéaste (Samuel Labarthe interprété par Arnaud Bichon) filme les comédiens en train de monter l'oeuvre de Racine. Le spectateur assiste alors à un ballet complexe, où les acteurs hésitent entre leur rôle dans la pièce, leur identité individuelle propre, l'image qu'ils donnent d'eux aux autres... et au public.

     

    C'est tout un jeu subtil de la Compagnie The Party, qui donne à voir l'endroit et l'envers des personnages du décor, de la pièce, de la vie même, avec l'émergence de cette jeune génération qui entend tourner la page de la guerre de Troie qu'elle subit depuis son enfance. Mais ce sont aussi les préoccupations de nos contemporains qui sont évoquées. Energie créatrice, envie de vivre coûte que coûte, c'est tout un message d'espoir fou qui est livré au spectateur dans cet ensemble effréné, envoûtant, qui questionne chacun sur son rapport à autrui, à la vie, à l'art. Et ce sont des analyses intéressantes qui se profilent la semaine prochaine en cours de Lettres... Un vrai plus pour ces jeunes dans la préparation des épreuves du Baccalauréat !

     

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  • A la découverte du métier oublié de relieur

    1.jpgLa reliure, un art d'antan menacé d’extinction : point de crise des vocations néanmoins pour nos élèves de seconde option Littérature et société, émerveillés, qui ont visité vendredi 15 décembre l’atelier des artisans charliendins Philippe Jansana et Steve Servaes.

     

    Arrière-boutique d’apothicaire ? Officine d’alchimiste excentrique ? Nulles grenouille en bouteille ou pierre philosophale rouge vermeil sur ces étagères croulant de cuirs odorants et de flacons soigneusement étiquetés, mais un même rêve qu'entretiennent de savants élixirs de colle et vernis : l'immortalité, prolonger à l'envi le destin de manuscrits antédiluviens, aux couvertures polies par les petites mains avides de générations de lecteurs.

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    Délicate mission pour le relieur que d'accéder alors aux désirs intimes d'une clientèle qui abandonnera là, un beau matin, quelques feuilles volantes dans l'espoir de les voir mariées en un fantasmagorique carnet de voyages, déposera précautionneusement le lendemain un ouvrage familial, à préserver dans l'instant des affres du temps, exigera pourquoi pas, le mois suivant, la restauration fidèle d'un manuel d'époque dans le plus pur style Renaissance.

     

    4.jpgDans la besace de l'artisan cependant, des techniques et outils formalisés et inchangés depuis le XVIIème siècle : la cisaille qui taille tranches et couvertures, des cuirs au charme délicieusement suranné pour les parer - parfois réduits à leur fine fleur sur demande auprès du tanneur, du papier marbré, strié, à motifs qui garnit pages de garde et incipit – fruit de la collaboration avec une créatrice locale, de la poudre d'or et différents jeux de police et caractères pour enfin titrer les livres ainsi vêtus, ultime étape dite de la photogravure.

     

    Au terme d'un mois de labeur entrecoupé de temps de séchage entre les différentes interventions, le patient, dépoussiéré, toiletté, est restitué comme neuf à son propriétaire fébrile, presque autant que nos élèves, prudents, quand vient le moment de feuilleter à leur tour ces livres transfigurés par le récit insoupçonné de leur conception, d'une valeur soudain tout aussi estimable que les précieux mots d'auteur qu'ils accueillent et accompagnent. Une valse des sens, d'encre et de papier envoûtante, réconfortante, à l'ère solitaire des écrans blafards et déshumanisants !

     

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  • ILLUMINATIONS - CELEBRATION DE L'IMMACULEE CONCEPTION

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    La Tribune - Le Progrès

     

    "Vendredi 8 décembre, les élèves de la pastorale de Notre-Dame et de Sainte-Marie ont effectué une procession, depuis l'église Saint-Philibert jusqu'à l'école Sainte-Marie. Cette marche des lumières a été bien suivie des familles. A l'école, un temps de prière a été respecté autour de la statue de Marie. La soirée s'est conclue par le partage du vin chaud, sirop et chocolat chaud offert par l'association des parents d'élèves de Sainte-Marie ainsi que la visite du marché de Noël mis en place par l'APEL."

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  • Un comédien professionnel a joué pour les lycéens

    presse.jpgLa Tribune - Le Progrès

     

    "Mercredi, Denis Lejeune a interprété Moi, fils d'Andromaque devant les 1ères et Tles des sections littéraires de Notre-Dame.

     

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    C'est ce qu'il est convenu d'appeler une petite forme, c'est-à-dire un spectacle pour un comédien, en lien avec une autre pièce - en l’occurrence Andromaque (un Amour fou) - que les lycéens ont vue en classe. Et il y aura un bis repetita, puisque Denis Lejeune se représentera dans la salle Jean-Dasté, le vendredi 15 décembre.

     

    Avec une maestria sans égale, le comédien issu de l'Ecole de la Comédie a su donner corps et voix à celui que l'on ne voit pas, que l'on n'entend pas chez Racine, mais qui est pourtant le grand enjeu de la pièce. Est-ce que Pyrrhus livrera Astyanax aux Grecs, ou le protégera-t-il ? Dans un texte de Boris Le Roy, mis en scène par Emilie Capliez, ce sont tous les ressentis de celui qui est l'otage d'une guerre qui ne fut pas la sienne, de marchandages auxquels il ne peut que se soumettre, de débats intérieurs sur lesquels il n'a aucune prise.

     

    Une rencontre pleine d'enseignements

     

    A l'issue de la représentation, les élèves ont pu discuter avec le comédien et Marie Kusma, médiatrice auprès des scolaires. Même si les langues mirent un peu de temps à se délier, ce fut un échange plein d'enseignements, sur le parcours professionnel de Denis, le métier de comédien, la difficulté de l'exercice, le texte de la pièce, d'une beauté d'ailleurs fulgurante. Tous ont été ravis de ce moment de partage, et de cette interprétation tout en puissance et en retenue à la fois, qui va leur permettre de mieux préparer le spectacle qu'ils iront voir."

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  • Notre-Dame aux couleurs de Noël !

    Cette année encore, le hall de Notre-Dame accueille sa désormais traditionnelle crèche de Noël, une imposante réalisation menée de main de maître par M. Monterymard - professeur de mathématiques reconverti dans les arts plastiques à ses heures perdues, sa brigade d'élèves volontaires et le renfort de M. Guyon, professeur d'histoire-géographie. 

     

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    Collines, vallons en papier rocher et villages miniatures se peuplent ainsi pour un mois d'une demi-centaine de santons provençaux plus vrais que nature, tant et si bien que d'aucuns les soupçonnerait presque de s'animer à la faveur de la nuit tombée, lorsque se dissipent peu à peu les derniers murmures émerveillés des visiteurs du jour.

     

    La cage d'escalier elle-même se pare en cette période de fêtes de ses plus beaux atours, drapée de guirlandes étincelantes et d'un sapin suspendu en bois de bouleau flotté, dont les lentes circonvolutions tournoyantes n'en finissent pas d'hypnotiser petits et grands. Des installations magistrales pour un Noël envoûtant !

     

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  • Les élèves de 4ème de Notre-Dame se mobilisent contre le harcèlement

    Sous l'égide de Karine De Abreu, professeur d'espagnol, les élèves de 4ème de l'établissement ont réalisé une campagne contre le harcèlement et les violences faites aux plus jeunes, dans la foulée de la journée internationale du 20 novembre dédiée aux droits de l'enfant.

     

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    Quoi de plus logique dès lors que de les défendre en espagnol, troisième langue la plus parlée au monde ? En ligne de mire, libérer la parole à travers des visuels forts et accrocheurs, un délicat exercice de synthétisme et de réflexion sur le rôle de l'image auquel se sont pliés avec rigueur et vigueur nos apprentis marketeurs, que nous félicitons de tout cœur !

     

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